La romancière Marie Nimier est en résidence à la Villa Salammbô pour son projet "Les confidences nomades".
Installée depuis le 14 novembre dernier, elle consacre son temps à son projet qui représente un jeu littéraire original composé d’acteurs anonymes ayant livré, chacun, des confidences. Celles-ci sont réécrites, réinventées, retravaillées et condensées.
Vous aimeriez participer à cette expérience originale ? Vous pouvez contacter Marie Nimier, et vous livrer de façon parfaitement anonyme. Par téléphone, ou le temps d’un café, les histoires seront transposées, si besoin est, afin qu’on ne puisse pas vous reconnaître. Pourquoi livrer une confidence ? Pour réparer, déposer un objet encombrant, partager vos rêves, donner votre avis, rire, douter, parler de votre pays ou simplement parce que cette démarche vous intrigue.
Une phrase entendue dans l’enfance, un acte que l’on regrette, un bonheur volé. Un souvenir qui vous habite. Un rien du tout, mais qui revient, sans que vous sachiez pourquoi. Une peur qui prend votre esprit en otage. Un rêve. Un fantasme. Quelque chose qui ne vous ressemble pas. Une honte, un remords, une expérience cocasse, sensuelle, sexuelle qui vous fait sourire ou qui vous empoisonne. Le tout en quelques phrases, raconté simplement, sans effet de style.
Contact :
Marie Nimier
Tél : 58 646 902
Depuis Sirène en 1985, Marie Nimier a publié quinze romans aux éditions Gallimard : La girafe, La reine du silence (prix Médicis 2004), Les inséparables, Le palais des Orties... Elle écrit également des textes pour la jeunesse, des pièces de théâtre et des chansons.
|
À propos de la première édition des Confidences, paru chez Gallimard en 2019 (extraits de Presse) "Marie Nimier a réuni les confidences d’anonymes. Son texte sensible dit les peurs et les remords ancrés en chacun de nous. (...) Toujours, les gouffres cachés de ces vies ordinaires nous bouleversent. Le livre est un concentré d’émotions." Sylvie Tanette, Les Inrockuptibles. "C’est dans cette confusion entre réalité et invention, entre l’alter et l’ego, que Les confidences s’avère être une œuvre puissante et ensorcelante." Auguste Schuliar, Libération. |
